Ici Tout Commence en avance du 21 novembre 2024 : Anaïs prend de la drogue et Jim et Carla veulent jouer les entremetteurs (Résumé de l’épisode 1051)

« Ici Tout Commence » en avance avec le résumé complet de l’épisode 1051 du jeudi 21 novembre 2024 – Comme chaque jour, News Actual lève le voile sur la suite des intrigues de votre feuilleton préféré. Dans ce nouvel épisode d’ITC qui sera diffusé jeudi sur TF1, Anaïs a de plus en plus de mal à supporter ses troubles auditifs, à tel point qu’elle prend une décision radicale…

Alice se fait inspecter par Teyssier

Hortense et Stanislas coachent Alice pour qu’elle soit prête à faire face à Teyssier qui doit assister à l’un de ses cours avec les deuxièmes années. Stanislas décide de jouer les élèves, tandis qu’Hortense se fait passer pour Teyssier. Elle fait semblant de renverser un verre d’eau sur le plan de travail afin d’agacer la cheffe, et Alice est aussitôt perturbée. Quelques heures plus tard, Alice demande quelques conseils à Gaspard pour être la plus décontractée possible au moment de l’entretien avec Teyssier. Ce dernier lui répond qu’elle devrait rester elle-même. Alice le remercie pour cette rapide entrevue.

En cours, Teyssier surveille chaque fait et geste de la jeune cheffe atteinte d’autisme. Elle est paniquée par la présence du directeur et se montre extrêmement sévère avec les élèves : « Stop, ça ne va pas du tout, vous ne respectez rien ! Je ne veux aucune approximation ». Surpris par le comportement d’Alice, Teyssier répond : « Je crois que j’en ai assez vu, passez me voir après votre cours ».

Plus tard, Teyssier informe Alice que son cours était très instructif : la première partie, elle était tendue, et ensuite, elle s’est forcée à jouer les « nanas cool ». Alors, pour la tester, il décide de mélanger plusieurs documents devant elle et Alice est, en effet, perturbée. Finalement, il explique à Alice qu’ils sont pareils tous les deux : « Restez comme vous êtes, c’est parfait ».

Carla et Jim veulent forcer le destin

Jim surprend Rose avec son père en train de discuter dans le parc de l’Institut. Une fois la directrice de Master repartie, Jim demande à son père ce qui se passe. Marc lui explique que Rose lui a proposé de reprendre leurs cours de cuisine, mais il a refusé. Jim souhaite en savoir plus : « Pourquoi tu me mens ? Quand tu me disais que tu parlais à une meuf, la meuf en question, c’était Latour ? ». Marc se justifie en expliquant à son fils que c’était une histoire sans lendemain. De plus, il ajoute que la semaine dernière, il a surpris Rose avec Paul, son ex-petit ami. Alors, pour rassurer son père, Jim lui dit : « Je pense que ça lui tenait à cœur le cours de cuisine ».

Juste après, Jim retrouve Carla et Bérénice autour d’un café. Il informe Carla que Marc et Rose ont bel et bien le béguin l’un pour l’autre, mais la jeune femme ne le croit pas. Carla commence à paniquer. Elle les imagine tous les deux ensemble, ce qui provoque chez elle un début de crise d’angoisse, puis elle dit à sa petite amie : « Comment Rose a-t-elle pu me faire un truc pareil ? ». Bérénice prend conscience que Carla veut, une nouvelle fois, se mêler des histoires de cœur de sa mère.

Quelques heures plus tard, Carla et Bérénice font semblant de prendre un café dans le parc de l’Institut. Au même moment, Rose débarque à la table des deux femmes. Carla lui propose de jouer à un jeu « Kill Marry Fuck » : il s’agit de donner trois noms, et parmi les trois, Rose doit décider lequel elle préfère tuer, marier ou… Carla propose de jouer avec Du Chesnay, Wiesberg et Leroy. Troublée par ce jeu, Rose se lève brusquement et fait croire qu’elle a autre chose à faire. Carla prend conscience que sa mère aime vraiment Marc.

Plus tard, Carla informe Jim qu’elle le croit désormais sur parole. Elle lui demande : « Qu’est-ce qu’on fait ? ». Jim répond que ça serait peut-être une bonne idée de laisser leurs parents se mettent ensemble, car ils seraient heureux. Le problème, c’est que Paul est rentré en France… Carla est surprise, elle ne savait pas que l’ex-petit ami de sa mère était de retour. Alors, Carla décide de forcer le destin : « Si on s’y colle pas, il ne se passera rien ! ».

Anaïs cède à la tentation

Anaïs appelle Milan pour savoir comment s’est passé son entretien avec Teyssier, mais il ne lui répond pas. Inquiète, elle demande à Vic et Léonard s’ils n’auraient pas vu le jeune homme et ils l’informent que Milan a volé les grands crus. Anaïs s’énerve contre ses amis en disant : « Vous ne connaissez pas Milan ! ».

Quelques minutes plus tard, Anaïs arrive au Studio et demande des explications à Milan concernant son mensonge à propos des grands crus. Milan lui explique qu’il ne voulait pas que Teyssier mette la pression sur elle. Juste après, Anaïs se rend dans le bureau de Teyssier pour lui avouer que c’est bien elle qui a fait tomber les bouteilles de vin. Elle fait croire au directeur qu’elle a embrassé avec Milan à ce moment-là et qu’elle n’a pas fait attention aux grands crus. Teyssier lui répond : « Sois prête demain, car je passe voir votre travail tout à l’heure, et ça a intérêt à être le cas ! »

Au Studio, Milan remercie Anaïs d’avoir empêché Teyssier de le virer. Anaïs lui avoue qu’elle ne voulait pas le perdre. Ensuite, ils se remettent au travail, et une fois encore, Anaïs est dérangée par les bruits métalliques autour d’elle. Résultat, elle demande à Milan de s’occuper du dressage, et ce dernier pose le casque de musique sur les oreilles d’Anaïs pour la soulager du mieux possible. Puis, elle le guide tout en écoutant du classique. Cette méthode semble fonctionner parfaitement, et emportée par la mélodie, Anaïs embrasse Milan. Au même moment, Teyssier débarque en cuisine et goûte les plats. Il les valide presque tous.

En fin de journée, Teyssier informe Constance qu’il a peur qu’Anaïs perde totalement ses moyens face aux grands chefs. De plus, il explique à sa femme qu’il a surpris sa petite protégée avec un casque sur les oreilles. Constance commence peu à peu à s’interroger. Au même moment, Anaïs réfléchit à la manière d’améliorer sa recette. Milan et Jude l’aident à y voir plus clair et lui disent de se reposer avant la journée de demain. Finalement, Anaïs préfère rester travailler encore quelques heures, seule, à l’Institut. Soudain, le bruit des objets métalliques devient trop compliqué à gérer pour elle. Alors qu’elle cherche son casque dans son sac, elle tombe sur les sachets de boosters. Elle avale un cachet…